Des mots ! Les mots peuvent-ils réconforter l’écrivain, lui offrir un asile face aux angoisses que le monde lui fait subir ? Et pour celui qui n’écrit pas, seraient-ils un sanctuaire inattendu, tel une île découverte dans les tourments de l’océan, ? Car ils sont là, promesse de douceur, invitant l’âme à s’épancher et l’homme à s’évader, à se confier, à imaginer, à construire un ailleurs pourtant si proche, si palpable, une autre réalité tangible pour l’esprit de celui qui la crée.
“Et pourtant … tout a été dit ! Tout a été fait ! La question a été réglé depuis longtemps.” se dit-il. Que rajouter dans l’infinité littéraire ? Écrire pour les autres ? Plutôt écrire pour soi, alors.
:)Tout a été dit . Sauf ce que tu viens d’écrire… Qui a peut-être déjà été dit ?
Certainement ! 😉 D’où mon interrogation. Bref, je viens de réinventer le mouvement perpétuel.